Eyrie, c'est moi ca !!

Prénom: Eyrie
Âge: 23
Âge physique: (facultatif) 25
Race: Humaine
Religion: Pas mal les trois, mais Miristan est le principal destinataire de ses prières, à force de tuer elle prie pour la vie et le monastère où elle a vécu est dédié à Miristan.
Emploi/rang social: Vagabonde, pillarde ou musicienne d’auberge, dépend de la saison.

Pouvoir(s): (facultatif) D’un toucher de la main, d'un contact peau à peau de quelques quelques secondes, elle peut faire oublier les dernières heures. Les derniers jours peut-être, mais moins efficacement, plus la période à couvrir est grande moins c'est efficace. Lorsqu'elle use de son pouvoir sur quelqu’un, elle cause une perte de conscience passagère. Elle est doté d’un don d’apprentissage accéléré, comme pour équilibrer le fait qu’elle fait tout oublier lorsqu’elle le veut. Il lui suffit de vouloir apprendre quelque chose pour que des années de pratique se transforme en quelques mois, ou même semaine, dépendamment de l’urgence et de son envie d’apprendre.

Caractère: Coté caractère, on la confond parfois avec un Asmir. Non pas qu’elle soit cruelle, mais elle fait ce qui l’arrange. Si ca te dérange, tu peux mourir et ce, dans sa plus grande indifférence. Elle est néanmoins capable de te faire croire qu’elle tient à toi, qu’elle s’intéresse à toi, ou autres choses qui te convient. Elle est une grande manipulatrice, c’est ainsi qu’elle peut gagner sa vie dans une auberge en tant que musicienne lorsque la saison froide arrive. Avec la musique, aucune hypocrisie. C’est la seule chose qui ait jamais adouci son regard, la seule chose qui lui mit un sourire sur ces lèvres, la seule chose qui ait le droit d’entrer dans son cœur de pierre. Ses relations avec les hommes se résument à quelques moments de sa vie où elle se prostitua lorsqu’elle souffrait d’une blessure l’empêchant de trouver de l’argent autrement. Eh oui, la vie de voleuse de grand chemin comporte certains dangers. Mais elle comporte aussi une liberté qu’elle ne pourra jamais se passer de. Elle n’a jamais eu peur de la boue, de la pluie, de la solitude. C’est au contraire une chambre réconfortante avec un feu crépitant, entouré de gens qu’elle aime qui lui fait peur. Pourquoi ? Simplement car elle s’en juge indigne. Elle est au courant de tous les méfaits qu’elle commet, quelques fois, elle y repense et espère une quelconque rédemption… Mais ces moments durent rarement longtemps. Avec la musique elle reste vraie, avec les humains une carapace aussi dure que le métal de ses poignards la protège, ou l’empêche de voir autre chose que ce qu’elle veut voir.

Physique: Jeune, élancée, le corps travaillé par la marche et le combat, elle est d’une dureté qui paraît jusque dans son physique. Elle pratique beaucoup d’arts martiaux, donc son corps reste souple malgré tout. Elle en prend soin, s’assure qu’elle est toujours propre après un combat, ses cicatrices sont rares et témoignent toujours de l’attention qu’elle prend à se soigner. Ses doigts témoignent de son amour pour la musique, elle sait jouer du clavecin, piano, flûte, harpe. Son instrument préféré est la harpe, elle en a une petite et légère qui ne la quitte presque jamais. Une petite harpe forgée dans le même métal que ses dagues, pour qu’elle soit aussi honnête que possible en tuant qu’en jouant de la musique. On peut deviner que son harpe et ses dagues ont été commandés durant une passe de bon sentiment. Ses traits peuvent être qualifiés d’esthétiques, des lèvres pleines, un petit nez et chose étrange, des yeux oranges. C’est quelque chose d’extrêmement rare, un phénomène unique en fait. Peut-être que dans ses yeux résident le secret de son passé, mais elle s’en fout un peu. En fait elle maudit ses yeux qui la rendent unique et qui fait que les gens se souviennent d’elle. C’est pourquoi en ville ou dans un endroit public où elle ne fait que passer, elle garde la tête basse et encapuchonnée. Ses cheveux noirs sont attachés la plupart du temps, mais dès qu’elle le peut, elle les laisse libre et flottants. Elle s’habille de vêtements sombres en tissus, le cuir c’est bien chic mais peu pratique. Lorsqu’elle s’arrête dans une auberge pour la saison froide, elle préfère alors les teintes de mauves et pourpres, parfois du bleu foncé, mais jamais de couleurs vives.

Ses parents l’ont abandonné dans un monastère dès qu’elle eut l’âge de rester un instant sans surveillance. Un monastère loin de tout, où les moines avait comme principale occupation l’art martial et la méditation. Drôle d’environnement pour une petite fille ! Elle était tout ce qu’il y a de plus enjoué et sain, posant sans répit des questions. Une vraie machine… Une chance que les moines sont réputés patients et le sont vraiment.

Eux le sont, mais pas elle, vraiment pas en fait. Un jour, elle a demandé pourquoi elle était dans le monastère. Les moines ne savaient quoi répondre, ils en étaient mal à l’aise. Comment expliquer à une petite fille que ses parents ne voulaient pas d’elle ? Impossible de dire qu’ils l’avaient déposer parce qu’ils ne pouvaient s’occuper d’elle, en fait, ils avaient joint une lettre comme quoi ils ne voulaient jamais entendre parler d’elle, une lettre où ils suppliaient de bien la traiter et de jamais l’aider à les retrouver. Secret alors. Essayer de faire patienter l’impatience.

Les moines lui ont simplement dit de retourner s’entraîner, elle n’avait pas fini la 4e routine du matin. Habituée alors à obéir, elle retourna dans la cour intérieure, mais elle ne cessais pas de se poser des questions sur le pourquoi de cette non-réponse. Elle avait vite appris toutes les routines, ne restait qu’à les perfectionner et atteindre le stade de méditation si chère aux moines.

Elle avait le droit de savoir ! Franchement, pour qui se prennent-ils ces moins paresseux… Toute la journée elle rumina de sombres imprécations, puis, sur une simple impulsion, elle partit. Imaginez, 10 ans à peine, son baluchon sur l’épaule, quelques provisions volés dans la cuisine et le potager. Tout le long, elle regardait par-dessus son épaule. Elle ne pouvait pas s’en empêcher, elle avait beau marcher droit devant elle, comment rester de marbre ? Elle marchait droit vers ce qu’elle pensait être la vraie vie. Au petit matin, épuisée par la marche, elle s’étendit sur une berge et s’endormit profondément. Au réveil, un homme se tenait à coté d’elle. L’homme tenta d’abuser d’elle, après tout, une jeune fille sans défense, quoi de plus tentant? Ce n’était certes pas un homme d’honneur, en loques, le cheveu gras et la peau sale l’habit de fais pas le moine mais cet individu n’était certes pas un moine. Avec un cri de mort, elle tenta de le repousser. De tout son petit corps, elle souhaita que l’homme parte, oublie qu’elle était là. Une étincelle sortit du bout de ses doigts, en contact avec le corps répugnant de l’homme qui avait déjà sortit son vit de ses braies, avait déjà arraché les vêtements de la pauvre fillette. Au contact de cette étincelle, l’homme s’évanouit totalement. La petite fille se rhabilla, pris son baluchon et s’enfuit en courant.

L’homme se réveilla à temps pour voir une petite silhouette au loin, vit que son petit bout était sorti de ses braies, sans trop comprendre, il rangea ce qu’il avait à ranger, ignorant quant aux derniers évènements. La petite Eyrie elle continuait à courir, les larmes reluissaient sur ses joues, une petite plainte s’échappaient de ses lèvres, elle sentait encore les mains de l’affreux sur elle, tout son corps ne poussait qu’à courir encore plus loin et plus vite. S’enfonçant dans la forêt, elle se perdit totalement. Ne sachant d’où elle venait, ni où elle allait, elle fit quelques mauvaises rencontres, mais à chaque fois, lorsqu’elle touchait la personne en question une étincelle la touchait et la laissait inconsciente. Elle ne savait pas que la personne se réveillait sans souvenir de leur rencontre, elle ne s’attardait pas trop voyez vous ?

Enfin ! L’orée du bois. Les arbres s’éclaircissait, les fougères prenaient de plus en plus de places. Elle voyait même une petite maison. S’avançant lentement, doutant du bien fondé de sa fuite plus que jamais. Avec tout les évènements, elle en avait presque oublié la raison. C’est pourquoi elle prit son courage à deux mains, se dit qu’une maison c’est comme un mini-monastère, rien à craindre. Donc, elle s’avance lentement, hésitante malgré tout. Toque à la porte, puis se recule vivement, prête à déguerpir.

Aucun son dans la maison. Un instant passe, puis ce sont les minutes qui défilent. Se déplacent précautionneusement vers une fenêtre, elle se hissa sur la pointe des pieds pour regarder à l’intérieur. Rien, ni personne. Elle fit le tour de la maison, ne trouvant rien de menaçant, elle revint à la porte d’entrée. Elle est barrée ! Avec un juron qu’elle avait apprit la journée même, elle refit le tour, avant de se décider pour une fenêtre. Avec un peu de temps, elle arriva a la soulever, par chance elle n’était pas verrouillée. La nuit se pointant rapidement, elle s’empressa d’élire ses quartiers dans la maison qui semblait abandonnée. Je dis bien semblait, car en fait le propriétaire n’était que parti chercher des crins de licorne pour une harpe. (Attendez, vous allez comprendre !)

Le lendemain, trouvant encore un homme proche d’elle, la jeune Eyrie se mis à paniquer et l’homme, tentant de la calmer, la pris par les épaules. Mauvaise idée, car aussitôt elle mit ses mains sur les avant-bras de l’homme, tentant de reproduire l’évanouissement qui l’avait sauvé tant de fois au cours des dernières heures. Mais rien ne se produisit ! Panique totale chez la jeune fille. Exaspéré, l’homme lui hurla en simple terme de se taire.

« -Écoute, je sais que tu es une jeune fille perdue, à voir tes vêtements tu viens du monastère. À voir ton baluchon tu es partie, mais ca ne me concerne pas. À voir ta panique, tu as fait la rencontre de la bande de la forêt, sont pas méchant, mais faut faire gaffe quand même. »

Aucune réponse de la petite fille en larme, roulée en boule sur le sol. Peut-être un peu extrême comme réaction, pour quelqu’un qui va devenir de marbre peu importe les circonstances. L’homme s’assit sur son bureau et commença à remplacer les cordes de sa harpe. Il savait la nature du pouvoir de la jeune fille, lors du contact, son propre pouvoir, celui de connaître celui des autres, avait fait effet.

Au bout d’une heure d’angoisse, Eyrie se releva et prit la parole, remerciant l’homme, pourquoi ? Aucune idée mais elle sentait qu’elle avait besoin de le remercier. Elle déballa son histoire, sa quête, et l’homme partit à rire. Jouant de la harpe, il brisa les rêves de la petite sans aucun remord. Lui disant que si elle avait été déposée dans un monastère, c’est que ses parents ne voulaient rien savoir d’elle. Et Bam, dans sa tronche. Pas une once de pitié. Puis il prit son harpe et commença à jouer. Il faut croire que certaines personnes sont difficiles à suivre… Mais la jeune fille fut tout simplement subjuguée par la mélodie qui s’échappait d’un simple machin avec des cordes. Tout de suite, elle demande à l’homme de lui apprendre, et il accepta. Coup de chance ? Non, coup du destin. Durant 3 années, elle apprit avec la même vitesse que les routines monastiques la flûte, la harpe, le clavecin et le piano. 3 ans, intensément concentrée pour la jeune fille. Bien entendu elle continuait les routines qu’elle avait apprises au monastère, entretenant sa force, sa souplesse, mais l’essentiel de son temps fut consacré à la musique. À la musique et une autre obsession, son passé.

C’était une belle période, mais renonçant à son passé, elle avait l’impression de renoncer à son futur. Souriant moins, riant rarement, la musique apaisait toujours son âme mais elle avait besoin de savoir. Une fixation peut-être, mais cela prenait certes trop de place dans sa tête. À un point que lorsqu’elle jugea que sa connaissance de la musique était la même que son tuteur, elle partit. Dans la forêt. Toute seule. Oui oui, la forêt où elle avait fait la rencontre des brigands et tout. Mais ayant appris à contrôler son pouvoir, elle n’avait pas peur. De plus, elle avait une petite harpe en côte d’ours, donc elle ne pouvait tout simplement pas avoir peur, la musique était avec elle. Elle partit, s’enfonçant de plus en plus loin, jugeant que les brigands devraient savoir quelque chose sur les yeux orange, dans quelle famille étrange cette couleur était courante. S’enfonçant dans les bois, elle entendit du bruit, s’avança vers un feu où siégeait une vingtaine de silhouette. Se disant qu’au pis allé, elle savait se battre grâce aux routines apprise dès son plus jeune âge mais la réalité était qu’elle était morte de trouille.

Rien ne paraît, visage de marbre, confiance et fierté.

Rejetant ses cheveux en arrière, elle demanda simplement : « Avez-vous déjà vu des yeux orange ? ». Direct, simple, sans flafla, elle attira une sympathie de la part d’une petite majorité des brigands, qui dans le fond se révélèrent ne pas être de mauvais bougres, juste un peu rustique. Mais elle devait compter avec les autres, ceux qui sont du genre à poursuivre une fillette de 10 ans dans les bois. Ceux-là décidèrent qu’elle devait mourir, le soir même. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce sont des psychopathes finis peut-être ? Toujours est-il que quelques hommes et femmes se levèrent et défendirent la jeune Eyrie, tremblante et sous le point de faire dans ses caleçons, bien que rien ne parut sur son petit visage.

Cris, hurlement, injures, elle entendit de tout ce soir-là. Mais ce qu’elle retenu de la soirée fut son jugement. Pas la mort, mais simplement l’enrôlement de force. Elle aurait dû rester dans la demeure du musicien en fin de compte… Mais il était trop tard pour retourner en arrière. Après tout, une vie en vaut bien un chemin en vaut bien un autre au bout du compte, ce qui compte en fait c’est ce que tu y fais. Elle apprit à se battre réellement, en situation de stress, dans la boue, la pluie, le sang. Mais elle tuait rarement, car son pouvoir permettait de mettre quelqu’un hors-combat tout en lui faisant oublier qui l’avait attaqué, ce qui était bien pratique dans son cas avec ses yeux orange. Elle aima cette vie, décida de continuer pour le meilleur ou pour le pire, et ce, jusqu’à ce que mort s’en suive. La mort failli bien suivre en fait, lors d’une attaque qui tourna court.

Une soirée sèche, craquante, un soir d’automne. Un soir où l’air racle la gorge comme s’il était hérissé de piquant. La voyante du groupe a bien prédit un malheur, mais Eyrie n’a rien voulu entendre. Le convoi, elle le savait de source sûre, contenait des richesses qui ne passent jamais dans ce coin. Pas de l’argent, de toute façon, elle n’aurait rien à en faire de ces pièces. Le convoi en fait était un convoi de luthier. Des fabricants d’instruments, des magiciens à ses yeux. Elle savait jouer de la musique, mais la fabrication complexe et précise échappait à sa compréhension. De plus, sa harpe commençait à se faire vieille et sa flute avait perdue la clé de la bémol.

Donc, ce soir-là, elle et sa clique partit en embuscade. Elle s’était fait quelques amis, loyal et intrépides et elle jouait autant le rôle de chef que de suiveuse.

Ce soir-là, tout partit de travers. Les gardes engagés étaient trop bien équipé par rapport à eux, et décidément en surnombre, même avec l’avantage de la surprise, ils ne pouvaient pas se battre à 5 contre 1.

Tous tombèrent, sauf elle, qui prit la fuite. De retour au campement, le jugement trancha, répudiée et jambe cassée. On coinça sa jambe entre deux troncs d’arbres et d’une torsion, d’un craquement, elle crut mourir. Sa fierté et son sens de l’honneur l’avait empêché de partir car elle prit la décision d’assumer ses choix, ses erreurs. Croyez-moi, elle ne prendra plus jamais cette décision. Elle partit, la rage au cœur, vers la grande ville qui était relativement proche. Consultant un médecin, payant en nature, se prostituant, elle reprit des forces, décidant qu’elle n’avait d’autre choix que de continuer dans ce qu’elle savait le mieux faire, voler et fuir. Voleuse à gage ? Un temps. Brigande à l’intérieur même de la ville ? Elle se fit prendre mais réussit à s’enfuir.

Son chemin depuis ce temps est simple, vole, use de ton pouvoir d’oubli, joue de la musique lorsque tu peux. Prends des décisions que tu n’auras pas à regretter, mais rien ne sert l’honneur d’assumer sans regrets lorsque tu te fais casser une jambe pour quelque chose que tu n’aurais pas pu contrôler ni prévoir. Sa vie solitaire l’a rendue un brin amère, mais bon, c’est la vie, c’est la vie qu’elle s’est choisie, c’est celle qui ne changera jamais, celle qui ne la décevra jamais. Aux alentours de l’âge de 20 ans, elle pensa à devenir une musicienne. Bien vite, elle s’ennuya du mouvement perpétuel, elle voulait voyager, elle était libre bien sûr, mais ce n’était pas la liberté que tu ressens dans le plus profond de tes tripes, ce n’est pas celle qui te fais coucher sous un sapin une nuit sur deux, ce n’est pas la liberté sauvage qui s’accorde si bien à elle.

Liberté sauvage pour une femme sauvage, c’est ainsi qu’elle décida de repartir sur les grands chemins, avec des dagues jumelles forgées avec le même métal qui servit à sa harpe. Le jour où elle regrettera de jouer de la musique, elle se tuerait avec ses propres dagues. Il faut bien qu’elles servent à autre chose qu’à intimider dans les cités.

Autre: (Facultatif) Je pense pas avoir quelque chose de pertinent à mettre. Elle aime les singes bicéphales. Ce n’est pas pertinent non ?

waw t`étais vraiment rentrer dans ton histoire toi vraiment bon mais sa ma prit du temps à moi a lire lol jai hate de voir se que les admins penseront de tout sa ^^

haha merci, je sais que mon histoire est longue, si ils me demandent de raccourcir je vais le faire mais tinquiete pas, mes rp sont jamais aussi long que ca xP

Très belle préso en tout cas ^^ Et personnellement, j'aime les histoires longues. Elles sont toujours mieux détaillés. Et quand c'est fluide, bien ponctué, sans fautes et bien séparé, c'est merveilleux pour mes yeux ^_^ (Et c'est le cas en ce moment ^^)

Bon, les commentaires:

Singe bicéphal... ?! Ok... Oo

Je n'ai rien à rajouter mis à part une question (ou plus) sur ton pouvoir: La perte de mémoire est-elle également passagère? [J'espère que oui]
J'aimerais comme restriction que pour activer ton pouvoir d'oubli, tu dois toucher à la peau de la personne et ce, durant quelques secondes. Ça t'irait? ^^ [C'est pas grand-chose dans le fond ^^" C'est pour éviter le "Ah! Je t'effleure et Paf sommeil XD"

Sur ce, je n'ai rien à rajouter Tu peux commencer à RP [Il ne reste que des détails à pauffiner. Je ne voudrais pas brimer ta soudaine envie de RP si jamais]. Mais je déplacerai ta présentation qu'une fois que tu m'auras répondu [sinon tu pourras pas]^^

Pour moi c'est important qu'on sache pour les singes bicéphales,., en fait c'est à cause que j'ai laché un fofo parce qu'ils étaient trop sérieux, depuis ce temps je mets un singe bicéphale au moins une fois dans la présentation, pour être sure que le fofo est ouvert d'esprit xP

Pouvoir : En fait je pensais pas trop passager, lorsqu'elle attaque quelqu'un sur le chemin et que la victime a la possiblité de se souvenir de ses yeux oranges, c'est pas génial pour elle. Au pire, elle tue tout le monde, mais là il faudrait que je change le mot "voler" pour "tuer" dans la présentation. Pour la peau nue et quelques secondes, pas de trouble, ca me convient, je vais rajouter ca.

J'ai hate de faire mon premier Rp !!!

Avons-nous passé le test? Sommes-nous ouvert? ^^

M'enfin, c'est que faire oublier les dernières années à quelqu'un, c'est quand même abu... ^^" Surtout si tu fais ça contre un joueur Dans ce cas, je me limiterai à quelques heures/quelques jours. Qu'en dis-tu?

Bon Rp

wai tout a fait ^^ vive les singes bicéphales.... faudrait que je fasse en sorte d'en avoir un pour animal de compagnie un jour xD

c'est parfait comme alternative, je vais editer ca tout de suite madame !!

Merveilleux ^______^

Bah, un jour peut-être ^_^ Ça doit pas courir les rues par contre... ^^"

Bon, je vais barrer officiellement ta préso