L'histoire d'un fermier ( Bal II )

[ HRP, règle spéciale: Il n'y a aucune règle spéciale pour ce topic en particulier ]

- Oyé Oyé, Avait crier les soldats dans toutes les rues de la forteresse, Monsieur Jonh Wheaton sera exécuté dans 15 minutes sur la place publique.

En un rien de temps, les gens avaient commencés à se rassembler, morbidement curieux. Afin de vous aidez à mieux immaginez la scène, laissez moi vous la décrire. La place centrale était un rectangle, en quelque sorte, situé devant le château. Le palais formant un U, c'était comme une cour extérieure, en quelque sorte. Ainsi, pour l'exécution, une plateforme avait été placée devant la fontaine et un périmètre avait été créer par les soldats. Ainsi, omis les gens sur la plateforme, tous les villageois serait à l'avant de la scène. Sur la plateforme se trouvait 4 personnes; Le bourreau tout encapuchonné, le chef de la milice, le coupable et nul autre que le Roi, Seivin.



Par ailleurs, le monarque s'avança une fois seulement, et de sa voix forte et claire, il entreprit de s'adresser au peuple.

- Mes chers sujets..., Commença-t-il, Cet homme sera exécuté ici sous les charges suivantes; manque de respect envers la famille royale, absence de cadeau pour la Princesse et non-payement des taxes. Il fit une pause.
- La loi est la loi. Sur ce, le Roi retourna à l'arrière de la plateforme, laissant le bourreau préparer l'homme.

Seivin, à proximité d'Oliver, lui adressa la parole bassement, si bien que seul le chef de la milice put l'entendre.

- Merci de l'avoir apporté, Dit-il simplement. En effet, le Roi avait demandé à Oliver d'aller chercher le fermier, sans lui dire le destin de ce dernier. Mais bon, maintenant il le savait...!

(SURPRISE! lol je m'y attendais pas!)

Oliver avait été chercher en effet Monsieur John Wheaton à la demande de son souverain. Seivin, le roi n'avait pas précisé la raison, mais Oliver se doutait bien qu'il ne veuille pas le voir pour le remercier! John, en voyant le chef de la milice arriver semblait savoir tout de suite de quoi il retournait, car à sa première vue, il avait essayé de se sauver! Oliver avait usé de son pouvoir de lévitation avant qu'il soit hors de sa portée pour le faire monter dans les airs jusqu'à lui.

"Monsieur John, mon Roi vous réclame!"

Spoiler:

John qui avait été déposé au sol devant Oliver, se mit à rire, hystérique, il mit sa pelle avec laquelle il creusait sur son épaule pour se retourner vers sa femme et fils qui jouaient plus loin ne se rendant même pas compte qu'ils se faisaient enlever l'homme du logis.

"Écouter! Je ne suis pas idiot! Je sais ce qu'il va me faire! J'ai une femme et un bébé! Vous ne pouvez pas me faire cela!"

Spoiler:

Oliver se retourna vers la femme tenant le bébé dans ses mains, n'ayant de regards que pour son petit protégé. Oliver s'en voulait, il ne voulait pas le faire, il fallait qu'il le fasse néanmoins!. Il voulu dire quelque chose, mais il se devait de se taire et faire son boulot! Il le prit par un pan de sa veste et le leva de terre pour le rappeler à l'ordre et le faire taire afin de ne pas attirer le regard de sa femme. Il l'envoya marcher devant lui en silence. Celui-ci jeta un dernier regard à sa femme et son bébé qu'il aimait tant, une larme à l'oeil.

Ils arrivèrent au château où on l'ordonna de l'emmener à la place centrale où il serait exécuté. Oliver avait envie de protester, mais il ne dit rien pour ne pas envenimer le caractère du Roi. Il avait son respect et il ne voulait pas changer les choses. S'il y avait bien une personne qu'il ne fallait pas se mettre à dos sans y perdre la tête, c'était bien le Roi! Son souverain le remercia et il fit une légère révérence poli sans dire un mot, l'air impassible.

Jake voyant les villageois se rassembler autour de la place centrale, passait afin de se rendre chez lui après avoir été un peu à la plage avant de se préparer pour le grand bal. Son chandail était en lambeau, il avait donc dû le jeter aux poubelles là-bas. Il portait son bas de pantalon noir ainsi que son foulard doré qu'il ne quittait jamais. Son torse nu et légèrement musclé prenait du soleil aujourd'hui pour une rare fois! Il ne cachait pas sa gêne d'être ainsi dévêtu, mais il se rendait effectivement chez lui afin de se vêtir pour le bal.

Il s'approcha donc du rassemblement pour mieux y voir ce qui se produisait. Il ne connaissait pas très bien le Roi, mais après ce qu'il avait l'intention de faire à ce pauvre fermier sans défense, il voyait en lui un coeur noircit et égoïste! John était en effet quelqu'un qu'il avait autrefois aidé, car ses récoltes en terres peu fertilisé ne lui rapportait pas assez. Il venait d'avoir un bébé, un petit garçon avec sa femme Amélya s'il se rappelle bien. Il ne pouvait tout de même pas le tuer ainsi sans avoir une once de pitié! Jake était révolté, mais son rang ne lui permettait pas l'erreur alors il se contenta de serrer des dents et des poings.

*Qu'est-ce qu'il fait! Ça n'a aucun sens! Si seulement je pouvais l'aider! Mon côté chevaleresque me perdra!*

Il regarda d'un côté et de l'autre, il espérait revoir en ce moment sa nouvelle amie afin qu'elle lui affirme qu'il était idiot et que c'était bien fait pour lui. Elle ne réussirait pas vraiment à le convaincre de cette façon, mais il sentait qu'il avait besoin d'elle pour lui dire ce qu'elle pensait de tout cela. Jake ne voudrait pas gâcher l'honneur de toute sa famille pour sauver la vie du fermier, mais il s'en voudrait toute sa vie s'il ne faisait rien.

*Eyrie!! Où es-tu! J'ai besoin de toi!*

Èva faisant un petit tour de garde avant d'aller se changer avait entendu crier un soldat de son équipe. Elle s'approcha et vit le bourreau, Oliver, John le fermier et elle aperçu le Roi pour la première fois d'aussi près. Il était assez séduisant pour son âge, n'oubliant pas qu'elle-même n'avait pas vraiment l'âge que son corps. Malgré tout, il paraissait qu'il était d'une cruauté sans pareille et il s'apprêtait à le prouver une fois de plus à sa grande surprise!

*Oh mon Dieu Oliver! Que te fait-il faire?*

Elle serrait son arme, très fort en pensant au fait qu'elle n'avait pas le droit à son mot et qu'il faudrait être fou pour essayer de sauver ce pauvre John. tout était perdu pour ce pauvre père de famille. Rien ne pouvait maintenant le sauver sauf peut-être Valia en personne! Personne n'oserait le sauver et mettre ainsi sa tête à prix et la famille de John! Il n'y avait donc rien que Èva puisse faire.

Elle aurait voulu serrer sa cousine dans ses bras, n'importe qui pour cacher une larme coulant doucement le long de ça joue. Signe de faiblesse dont les autres soldats ne devaient pas voir la trace. Elle regarda Oliver, se sentant trahit par celui-ci, mais elle savait qu'il n'y pouvait rien. Si quelqu'un sacrifierait son honneur pour lui prêter main-forte, elle ne l'arrêterait pas, du moins, elle se laisserait battre facilement pour aider. Par contre, Oliver serait trop orgueilleux pour ne pas défendre son titre et son rang selon elle.

Alyssia qui déambulait dans les rues avant d'aller se vêtir de la magnifique robe qu'elle s'était trouvée vit un rassemblement. À peu près tout le village était rassemblé à la place centrale pour voir ce qui semblait le roi et trois autres personnes. Quand elle entendit l'annonce du soldat, son coeur se mit à battre très vite, trop vite à vrai dire! Elle en avait oublié Maeva, sa louve avec qui elle avait décidé de faire visiter la ville. Elle voulu sur le champ avancer sur le devant de l'action et dire sa façon de penser au roi.

*Je n'arrive pas à croire qu'il va faire cela! Je dois l'en empêcher!*

Elle avança d'un pas déterminé , mais quelque chose lui tira un bout de sa robe. Elle se retourna surprise pour voir Maeva l'empêchant d'avancer.

*Qu'est-ce que tu fais! Laisse-moi aller sauver ce pauvre homme!* Lui intima-t-elle par pensée. La louve cependant semblait connaitre le roi plus que elle-même. Elle s'assit devant elle et jeta un oeil au roi et aux personnes tout autour afin de voir si quelqu'un avait vu Alyssia dans son élan. Elle ne se permettrait pas de la laisser se mettre dans un tel pétrin!

*Si tu fais cela c'est toi qui sera tuée! Tu ne peux pas contredire le roi, même si ce qu'il fait est répugnant. Nous ne pouvons malheureusement rien pour ce pauvre humain!*

Alyssia plaqua une main sur sa bouche doucement, choquée. Elle ne pouvait pas tolérer l'idée de voir un homme se faire tuer si injustement et ne rien pouvoir faire. Elle se contenta de regarder a suite des évènements avec profonde tristesse. Elle ne connaissait pas l'homme en question, mais elle savait qu'il ne méritait pas un tel sort!

Oh qu’il n’est pas question que cet IMBÉCILE PRÉTENTIEUX ÉGOÏSTE tue cet homme aujourd’hui. Pourquoi voulait-il le faire ? Omis de faire un cadeau à la princesse? Ne comprenait-il pas que la vie d’un paysan était la plus dure qui soit sur cette terre et que se procurer un cadeau décent était au-dessus de leurs moyens ?? Quant à ses taxes, ils s’agissait sûrement d’un retard sans plus. Ou il avait été dans l’incapacité de payer et son seigneur lui avait autorisé un temps supplémentaire, mais ce roi cruel n’en aura pas pris compte. Elle ne voulait que le libérer et prouver au roi qu’une couronne ne suffisait pas pour ôter la vie d’un homme qui avait sûrement une famille. Eyrie se doutait qu’il avait une famille, mais si elle réussissait à le sauver, jamais il ne pourrait les revoir, à moins d’un complot compliqué auquel elle pourrait toujours penser plus tard. Pour l’instant, seul comptait se trouver un allié pour délivrer ce pauvre homme.

Jake !! Elle venait de le quitter il n’y avait pas si longtemps et il était la seule personne à qui elle pensait en ce moment. Le trouver fut relativement aisé, il était torse nu au milieu de la foule. Sans regarder –hum hum– son torse musclé tout ce qu’il fallait, elle lui exposa un plan bien simple mais redoutable d’efficacité.

« Jake, j’ai besoin de ton aide. Tu ne peux pas rester les bras croisés sans rien faire ! Au nom de Valia, tu dois m’aider. Je ferai diversion, toi, rends-toi invisible et délivre le paysan. Si tu peux, reviens m’aider par après. Mais cache ton visage !! Je cacherai le mien aussi. Si tu cries mon nom, que ce soit celui de Valeriane, ou juste Val. »

Croyez-le ou non, Eyrie tenait vraiment au succès de cette mission. Détestant l’autorité et les potences par-dessus tout, elle faisait cela autant pour elle que pour le fermier. N’oubliez pas que cette bandite ne vivait que pour les bagarres . Une excitation gagnait son visage et son regard, mais aussi une soif de justice bien cachée. Justice envers les riches, par envers elle, on se calme un peu hein. Plongeant son regard dans celui de Jake un dernier instant, elle lui insuffla du courage et de la détermination comme elle avait l’habitude de faire avec ses compagnons d’armes d’autrefois.

Une simple cagoule lui cacha les yeux, opaque de l’extérieur mais transparente de l’intérieur. Elle l’avait acheté à prix d’or à un marchand bien trop expérimenté pour se faire voler malheureusement. Mais c’est dans des jours comme aujourd’hui qu’elle se révélait utile. Elle était toujours nu-pied mais elle avait eu la présence d'esprit de se changer et d'ôter ses bijoux. D’un bond agile, elle sauta sur la plateforme mais se fit rapidement assaillir par les gardes. Distribuant à la ronde coups de pieds, coups de couteau et autre crachats, un rond se forma rapidement autour d’elle, les soldats hésitant à se jeter sur cette furie qui était devenue Eyrie.

Furie ou non, elle était seule contre une cinquantaine de soldat. Son but était simplement faire diversion, mais pendant combien de temps ? Elle ne pouvait certes pas prendre le temps de regarder par-dessus son épaule pour voir où en était rendu Jake, la moindre seconde d’inattention pourrait se révéler fatale. Elle décida de se diriger tant bien que mal vers le rebord de la plateforme, dos au vide. Le chef de milice n’avait pas l’air de vouloir se salir les mains, c’était une bonne chose.
Donc, dos au vide, elle était prête à sauter au moindre signal de son ami.

*Jake, dépêche-toi, pour l’amour de Valia, fait vite !!*

(HRP)Changement de plan(/HRP)

Emmitouflé dans sa longue cape noir et portant son fidèle masque blanc, le bourreau, dont la hauteur dépassait les 6 pieds ( 1.83 m si vous préférez ), s’avança sur la plateforme de bois. Il était quelque peu agacé par le brouhaha que causait cette trouble-fête. Les gardes l’avaient heureusement empêché d’approcher davantage mais il y avait encore du travail à faire pour faire régner l’ordre.

" Oliver… "

Dit-il de sa voix masculine et autoritaire. L’ordre était sous-entendu et il n’avait pas jugé devoir lui dire davantage. Mais il était clair qu’il voulait que le chaos cesse et que l’exécution puisse être faite dans les règles de l’art.

Voyant qu’Eyrie était sur le bord de la plateforme et qu’elle serait bientôt mise en état de nuire, il s’adonna à son travail. S’il ne le faisait pas, il se le ferait certainement reproché par le roi, Sire Sévin lui-même.

" Emmenez-moi le fautif! "

Ordonna-t-il. Le garde qui l’empêchait alors de s’enfuir l’emmena à lui. Dans son regard se lisait la peur, celle de sa fin proche, et l’abandon, car il ne pouvait échapper à son destin. Il était ligoté aux mains derrière son dos et les gardes l’empêcheraient de s’enfuir. Or, s’il y arrivait, c’était sur sa famille (et peut-être même ses proches) qu’allait retomber la colère du roi. N’empêche qu’il gigotait trop à son goût.

Lizzie (vous l’avez bien devinez que c’était elle, hein? Heureusemement, je meurs pas cette fois-ci XD) posa une main sur sa joue et lui murmura quelques mots que seul John Wheaton pouvait entendre.

" Tout cela est de votre faute. Rien de cela ne serait arrivé si vous aviez fait un cadeau digne de ce nom à sa princesse Kelly-Ann May Zéphyr. À cause de vous, votre femme et votre enfant vivront dans la honte à jamais. Il n’y a qu’une chose à faire pour vous racheter : vous enlevez la vie. "

Glissa-t-elle. Elle avait le don d’implanter une idée dans la tête des gens et il était si facile de jouer avec la culpabilité. Les remords avaient le don de briser une personne. Cela eut l’effet escompté, car le fermier acquiesça d’un signe de tête. Il était prêt à affronter sa mort.

Le bourreau l’emmena sur un plateau surélevé de la plateforme, la potence juste au dessus de lui. Il glissa la corde autour de son cou et s’assura de la solidité du nœud coulant. Puis, il posa sur la tête du fermier un sac fait de jute.

Il descendit du plateau et posa un genou au sol en signe de respect à Sévin.

- Mon roi, l’exécution est prête.

Marqua-t-il. Il ne manquait plus que son signal. La méthode d’exécution était rudimentaire : il suffisait de tasser le petit plateau de bois pour que l’homme suspendu meurt pendu…

(HRP)Attention, le prisonner est surveillé par les gardes. Ils sont un peu distrait, je l'accorde. Mais qu'en même.

D'ailleurs, merci d'avoir édité Eyrie/Jake... Je suis contente de pas être KO/tuée cette fois-ci. Car le bourreau c'est bel et bien moi(HRP)

(en fait lizzie jake ne ta pas tuer puisqu'il croyait tu étais le roi! Le bourreau était un autre personnage alors il n'a pas reelement tuer un personnage je répond ce soir promis! Travail trop )

(Tout ça parce que Oliver a choisi une tronche de fermier trop sympathique !)
(Je dis « amie » parce que je ne sais pas si éventuellement, je vais avoir la chance de connaître le vrai nom du personnage.)

Une fois installé dans le château, Osfrey s’assit sur un banc près de l’entrée. Le garde l’observait encore avec un sourire niais en essayant de découvrir le secret magique de sa mouette. L’elfe-asmir affichait toujours un air faussement joyeux pour encourager le garde dans sa recherche vaine. C’était un moment akward.

Osfrey remarqua alors qu’il n’y avait pas beaucoup d’invités dans la salle. Où étaient-ils passés ? Avaient-ils entamé le repas sans lui ? Il n’était pas si en retard que ça, quand même. Le prophète de Theliann alla donc s’informer auprès du garde qui lui expliqua que la plupart des gens semblaient être partis changer d’accoutrement pour le bal. WTF ?! Bon, alors Osfrey s’installa à nouveau sur le fameux banc des gens en retard qui ne comprenaient rien à la situation et se demanda s’il devait lui-même aller se refaire une beauté pour le bal ? Peut-être pourrait-il trouver un autre cadeau qui conviendrait mieux à la princesse et l’échanger contre sa mouette dodue? Ou peut-être pourrait-il tout simplement aller se chercher une autre mouette ? Ha… Une autre mouette, c’était une bonne idée ! Il avait faim, le pauvre prêtre.

Alors qu’il se redressa pour se diriger vers la sortie, un objet tomba d’un pan de son vêtement ample et sexy (POUHA XD). C’était un cadeau d’une amie qu’il appréciait fort bien, malgré qu’il ne l’ai rencontré qu’une seule fois. Il aurait bien aimé qu’elle soit sa maîtresse… mais de toute malheureuse évidence, cela ne semblait pas l’intéresser. Lors de leur dernière rencontre, qui était en fait leur première rencontre, elle lui avait donné ce peigne nacré aux propriétés magiques de défaire les nœuds dans les cheveux. Osfrey avait les cheveux longs, alors c’était franchement très pratique pour lui. Depuis, il ne s’en départait plus…

HA MAIS ZUT ! Il aurait pu donner le peigne au lieu de sa mouette ! Il se pencha pour ramasser le petit objet, et en profita pour l’observer. À bien y repenser, il l’aimait bien ce peigne… et ce n’était pas un repas qui l’aurait séparé de ce magnifique présent ! Il se mit à rire en pensant aux circonstances dans lesquelles il avait rencontré son amie. Tomber d’un toit, fallait le faire, quand même !

Le garde le scrutait d’un œil interrogateur alors qu’il sortait du château en riant comme un con. Une fois le pied à l’extérieur de la forteresse, Osfrey entendit un attroupement près du château, entre deux de ses rires. Il s’approcha de la place centrale parce que dans les attroupements, il y avait toujours tout plein de femmes. La situation ne semblait toutefois pas très joyeuse. Il y avait le roi, un gueux et un bourreau sur la plateforme située au centre de la place. Un peu plus loin de ces gens, une fille semblait être entourée d'une cinquantaine de gardes. D’après ce que l'elfe-asmir pouvait comprendre, lorsqu'il était encore au loin, avant que la fille ne se lance sur la plateforme, le roi voulait pendre le fermier à la tronche comique parce qu’il n’avait pas donné de cadeau à la princesse et parce qu’il n’avait pas payé ses taxes, ce qui en résultait en un irrespect envers ses souverains. Ha, quel idiot ce fermier ! C’était bien fait, pour lui !

Mais…

Mais…

Osfrey ne se souvenait pas que le roi lui ait commandé un cercueil récemment ? QUOI ?! Il aurait fait affaire avec un autre ?! Sale roi à la con… Osfrey n’allait pas se laisser faire comme ça ! Il ferma les yeux et pria silencieusement sa déesse Theliann.

*Par tout mon respect, ma chère déesse, désirez-vous l’âme de ce fermier dans le moment pour qu’il puisse à tout jamais fuir le chaos du monde ?* demanda-t-il à sa chix supérieur.

*Osfrey… ça m’est égal une âme de plus ou de moins dans l’immédiat, vous savez ? Il va mourir quand même, un jour. MAIS LE TOIT DU TEMPLE ! Bon sens ! Il faut que vous le réparez, Osfrey ! Il y a UN TROU dans le toit de MON temple !* rétorqua la déesse, très énervée.

*Oui ma déesse… c’est justement à ce sujet. Vous savez, ce serait plus rentable pour moi si je sauvais cet homme dans le présent, comme ça, je pourrai le forcer à s’abonner à vie et à mort à ma promotion « cercueils pour toutes les générations »*

*Je m’en contrebalance, prêtre. Mais réparez ce foutu toit !* Et elle quitta les ondes.

Déterminé à faire fructifier ses ventes, Osfrey devait se trouver un plan d’action.

A. Se mettre tout nu et aller se jeter dans les bras du roi pour faire diversion. (Le roi va le tuer OO !)
B. Prendre en otage un membre dans la foule, de préférence une jolie dame, et menacer le roi de relâcher le prisonnier (Le roi va s’en foutre et tuer tout le monde anyway OO !)
C. Créer la panique en annonçant une invasion d’OVNI ?! (Nah, ils savent même pas ce que c’est…)
D. Toutes ces réponses. (Sauter nu sur le roi avant d’annoncer l’invasion ou après ?)

Une meilleure idée germa dans son esprit détraqué d’asmir-elfe-prêtre. Quoique pas la meilleure, il devait tout de même essayer. Au pire, le fermier allait mourir… et lui aussi ? La mort n’effrayait pas notre prophète courageux… Mais ce n’était pas très esthétique de mourir pendu. Il préférait ne pas mourir dans les mains de cet idiot de roi dément. Et de mourir dans une bassine de rose, de préférence. C’était plus romantique… MAIS ! L’heure n’était pas de penser aux bassines de roses ! Il devait être à la rescousse du fermier à la tronche trop comique.

S’avançant parmi la foule, Osfrey demanda au chef de la milice, qu’il reconnu facilement d’entre les gens, à lui accorder la parole au roi. Oliver accepta à condition de rester entre le roi et le prêtre. Osfrey acquiesça et se dirigea vers le roi avec Oliver. Il fit une révérence respectueuse devant l’idiot et lui parla la tête basse.

« Mes salutations au noble roi que vous êtes, ô souverain très grand et très haut, respecté de tout son peuple ignorant et inculte, dont je fais modestement partie. »

*Ciel que je suis hypocrite !*

« Mon cher roi, il est de mon erreur d’être arrivé en retard à cette somptueuse cérémonie que vous avez merveilleusement organisé pour votre très chère princesse bien aimée. Toutefois, ce que vous ne savez pas, mon honorable roi, c’est que ce fermier avait su son sort avant d’être emmené ici et qu’il était préalablement venu me voir pour me demander la bonté de lui accorder un cercueil gratuitement. Naturellement, hommes d’affaire que nous sommes, tous les deux, vous savez très bien que je l’ai refusé. Néanmoins, je lui ai proposé une offre alléchante. Je lui ai dit que j’allais m’occuper de son cadeau à sa place s’il prenait un abonnement de cercueils à mon temple. Si on se fit aux chiffres, mon roi, c’était bien plus rentable pour moi de cette façon, et la princesse allait bénéficier d’un cadeau beaucoup plus adapté à son rang que si ce déchet de fermier lui aurait choisi quelque chose. Donc, mon cher roi, je vous tends ici de mes deux mains ce peigne que j’ai trouvé après maints efforts. C’est un peigne en nacre, ayant la propriété magique de défaire tous les nœuds. Bien certainement, la chevelure de sa très ravissante princesse est d’une beauté sans pareil… ainsi, un tel objet ne pourrait que lui faciliter la vie après une ballade en cheval ou au réveil… et j’en passe. L’important, mon roi, c’est que pour me remercier, ce fermier m’a donné quelques sous en plus de la taxe qu’il vous devait, et qu’il tenait à ce que je vous le donne moi-même, puisqu’il jugeait ses mains de gueux trop impures pour vous présenter quoi que ce soit. Pour me faire pardonner de mon affront d’être arrivé si tard, monseigneur, je vous implore d’accepter deux de mes cercueils en guise de dédommagement, et je vous offre 40% de rabais sur tous vos achats de cercueils futurs, lorsque vous exécuterez les gueux de votre royaume. »

Il prit une respiration, tendit son peigne et sa bourse au souverain imbécile et tenta de ne pas le laisser réagir avant d’enfiler :

« Je sais que je vais contre la volonté de ma … déesse… de ne pas ainsi lui rendre l’âme de ce fermier. Mais vous savez, je vois… l’intérêt monétaire… que ce fermier peut m’apporter à la longue. Et je suis certain que tous les gens de la place seront prêt à donner un don à ce détritus de fermier pour l’aider dans sa vie supposément difficile. Ce don, il terminera en taxes dans les poches de sa grandiose majesté. » termina Osfrey en appuyant très fort sur ‘contre la volonté de ma déesse’ et ‘intérêt monétaire’, les points faibles du roi.

* Ciel que je suis un horrible têteux. Je devrais faire du théâtre. C’est immoral. Ça me plait.*

Pendant que Oliver et le Roi était occupé à entendre le plus drôle des discours que Jake avait entendu dans sa vie, il se rendit invisible et alla chercher Eyrie à l'insu de tous. Tous les yeux étaient tournés vers ce curieux personnage aussi vendeur que comique et lèche-botte quand Eyrie pu disparaître sans même attirer un regard, enfin, j'espère!

"Qu'est-ce que tu fais tu es folle!? Tu veux être pendu aussi!?"

Jake retira ce qui couvrait le visage de Eyrie et réapparu avec elle derrière la foule qui cette fois ne vit rien à coup sûr! Il n'était pas fâché, surtout inquiet de ce qui aurait pu arriver à sa nouvelle amie. Il ne se pardonnerait pas de perdre une fois une personne en qui il tient et encore moins peu après la rare confiance qu'il accordait maintenant à celle-ci.

"Tu pensais déjouer tous ces soldats à mes côtés aussi facilement? Le chef et la sous-chef des armées royales étant les plus puissants de Zéphyr étaient là et seraient trop compliqués à terrassé d'ailleurs! je me suis inquiété pour toi! Tu es parti sans même savoir si je jugeais être capable d'en venir à bout!!"

Il regarda Oliver cherchant tout à coup à localiser l'intrus qu'il s'apprêtait à arrêter. Elle l'avait échapper belle! Oliver était redoutable après tout! Il avait eu l'occasion de le voir à l'oeuvre lors de leurs escapades pour retrouver le voleur des biens de la famille Torn. Il ne fallait surtout pas le sous-estimer, car le titre qu'on lui avait offert n'était pas là pour rien. Il se retourna vers le vendeur de cercueil et se dit qu'il devrait le remercier un jour d'avoir ainsi trouvé le courage de sauver ce fermier et par la même occasion, Eyrie.

Alors là, c’en était trop. Pour qui il se prenait maintenant ? Sale fils de riche qui se pensait tout permis ! Alors là, c’en était vraiment trop. Pourquoi se permettait-il de la critiquer ? De la traiter de folle ? Mais le pire dans tout cela était le manque de confiance en les capacités d’Eyrie. Jamais elle ne supporterais de se faire parler sur ce ton. Si il n’était pas capable de secourir un simple fermier, c’était bien de sa seule et unique faute. Il pouvait devenir invisible !! Passer inaperçu était un don qu’il n’exploitait pas assez.

Il aurait très bien pu délivrer le fermier. Il avait refusé par crainte de perdre son statut et son prestige. C’était bien trop évident… Un sale fils de riche, qui aime trop être riche. Il voulait la liberté ? Se sentait emprisonné ? Était obligé d’obéir au doigt et à l’œil de sa famille ? Pfeuh, il aimait trop ca. Sentir que quelqu’un dirige sa vie sans avoir à poser de question. Il ne pourrait pas supporter de prendre ses propres décisions et de les assumer. Ah, c’est ca, il n’aurait pas su assumer son geste, il n’aurait pas supporté.

Contrôlant son envie de meurtre, elle reprit sa cagoule en sifflant entre ses dents. Ses yeux oranges lançaient des éclairs, tout son corps était crispé et une boule se formait au niveau de sa gorge. Tiens, c’est nouveau cette boule. Ce n’est vraiment pas bon signe. C’est ce qu’on appelle des « sentiments », non ?

« Sale… Non mais… Pour qui tu te prends ? Le plus jeune bandit de n’importe quelle bande aurait plus de courage dans son petit orteil que toi dans tout ton corps de petit riche minable. MOI je t’en jugeais capable, apparemment je me suis trompé. Bien bon pour te battre dans les ruelles, quand tu sais que ce que tu fais est la seule option, mais quand tu as un choix à faire, c’est autre chose non ? »

Elle le regarda de bas en haut avec un regard dédaigneux en rajoutant « Prochaine fois, tu restes hors de mon chemin si tu es incapable de faire ce que je te demande. » *SALE COUARD* rajouta-t-elle en pensée, mais elle eut la décense de taire cette partie.

Elle s’enfuit, les larmes aux yeux. Saleté de boule dans la gorge qui ne voulait pas partir. Il méritait ces paroles !!

Elle grimpa sur un toit pour observer le reste de la scène, une mouette bien grasse venant de se poser à coté d’elle pour seule compagnie.

Jake avait reçu toutes ces insultes comme un poignard au coeur. Il avait seulement essayé de la sortir de là après tout! Pour qui se prenait-elle tout à coup de lui en vouloir de bien calculer son coup. Il avait confiance en ces capacités et en celles de Eyrie, mais il connaissait aussi le légendaire chef de l'armée qui aurait tôt fait de les terrasser tous les deux. Èva aussi était là et sauf le Roi bien sûre , Ils étaient les deux combattants les plus dangereux de tout Zéphyr!

Il ne su tout simplement pas comment réagir. Il avait déjà perdu son amie pour ne pas avoir pris un risque qu'il aurait dû prendre. Il l'avait sauvée, mais c'était une mauvaise chose, car elle se croyait capable de vaincre des gens trop puissants. Il eut honte un instant de ne pas avoir sauvé le fermier comme elle l'avait dit. Son geste était pourtant totalement calculé!

*Bordel! Je l'aurais sauvé et il aurait dû fuir très rapidement avec sa famille sinon ils auraient été tué ainsi que toute sa petite famille! Les femmes sont tellement incompréhensible!*

Il voulu rattraper Eyrie un instant, mais elle était partie le maudissant trop pour en avoir envie. Il n'était qu'un sale gosse de riche trouillard? Soit! Il regarda tous les toits autour sachant que c'était son repère préféré, mais la voyant pas, il fronça les sourcils, jeta un dernier regard, à cet homme étant prêtre de la mort et au fermier peut-être encore condamné dont la colère faisait qu'il ne voulait plus rien faire ou même savoir.

* Tant pis alors! Je vais rentrer me changer sans demander mon reste et si cette stupide femme que ma mère m'impose est encore là! Double tant pis!*

Sur ce, il partit contrarier sans se retourner.

(Notre première dispute! lol ouais je vois où tu veux en venir avec ta mouette! Je suis jaloux pfff lol)

C’était l’après-midi et la forteresse était en effervescence. Ça se voyait que le bal n’était plus qu’à quelques heures d’être entamé. Les magasins étaient remplis de gens, le genre de personne à dernière minute. Malheureusement, Jayden en faisait parti. Il venait de sortir d’une boutique où il avait échangé du minerai de fer contre quelques bouts de tissus : il ne manquait plus qu’à se faire un costume maintenant!

Lorsqu’il sortit, son attention fut attiré par un attroupement de gens à l’avant du château. Il dût se frayer pour voir un peu ce qui se passait : une plateforme avait été érigée. Le roi, le bourreau et Oliver s’y tenait fièrement et ils étaient entourés par plus de gardes qu’il ne voulait compter. De plus, un homme dont le visage était caché par une poche en jute se tenait au-dessus.

Il se renseigna aux gens autour de lui ; une exécution publique, voilà ce qui se passait. Cet homme allait être pendu pour non respect à la famille royale… parce qu’il n’avait pas fait de cadeau à la princesse et qu’il n’avait pas payé ses taxes?!

N’était-ce pas quelque peu excessif? Comment un roi pouvait-il enlever la vie d'une telle façon. Se prenait-il pour un dieu?! Le droit de mettre fin au cycle de la vie revenait à Theliann et elle seule.

C'est sur cette pensée qu'il glissa une douce prière à Miristan ainsi qu'à Theliann; pitié en son âme…

Je voulue rendre visite a mont vieille ami d'enfance, Jonh Wheaton. Je vue une jeune femme qui pleurais avec dans ses bras un nouveaux née. Sa dois être surment ça femme me dit-je .Mon coeur, ce torda de douleur. Je me fis les pires scénarios possible. Je m'approcha de cette pauvre dame.

- bonjour , je m'appelle Océane Torn je suis une amie d'enfance de Jonh Wheaton. J'ai vue sont père hier et il m'a dit qu'il habitais ici.
Les yeux de la jeune mère ce remplis d'eau et elle ce mis de plus belle à pleurer.

- Mais qu'est ce qui ce passe? dit-je ( je savais que s'étais quelque chose de grave)

- Il..il..ont.. (Elle pris une pose avants de continuer.) .. emmener.. , elle pris son souffle, ... jonh à la potence. IL vont le pendre!!! ( Elle ce remis une fois de plus à pleurer a chaude larme et elle repris.) Juste par faute d'argent nous avons pas pue payer les impôts et offrir un cadeaux à la princesse , Nous voulions mais vous s'avez les récoltes sont si mauvaises.

je restas la , bouche bée , j'Avais l'impression que le sol allais s'effondrer sou mais pieds.
Mon ami de toujours allais mourir et je ne pouvais rien faire.
Je me promis d'aller au châteaux, pour essayer de le sauver!

Pour moi s.étais pas concevable que ça lui arrive , lui , un homme si bon. je m'e souviens qu'un jour quand nous étions jeunes , ont avais vue une famille qui avais tout perdu faute d'un investissement mal placé et lui, qui est d'une famille extrêmement pauvre, avais pris toute ses économises durement gagner pour ses études, et leurs avais donner , grâce à ça ils pure s'acheter une petite maison , délabré fut-elle mais il étais aux moins plus dans la rue. Il ne pus jamais aller aux études. c'est pourquoi qu'il eu pas le chois de faire carrière comme fermier, comme son père.
Cependant, il nus pas la chance des autres fermiers du royaume, car, ses champs n'étais que à moitié fertiles.

Arriver aux châteaux, je vis qu'il n'était pas trop tard pour faire de quoi pour l'aider.
Voilas je crois que j'ais trouver la solution parfaite pour le sortir de la, mais j'ais besoin de parler à quelques personnes pour ça.
Tout d'abord, je dois trouver mon frère, pour lui demander son accord d'utiliser l'argent familiale et ensuite je devriez trouver un moyen de parler à la princesse ou encore mieux au roi.
Si Jacke accepte de signer le papier, pour un retrais a la banque. Je pourrais par la suite demander à la princesse si je peu payer les dettes de mon ami John et me porter garante du cadeaux qu'il doit donner à celle-si.
Il n'i à qu'un problème , comment vais-je pouvoir parler à nôtre majesté ?! KellyAnne May Zéphyr.
Loin dans la foule j'aperçue Jayden Vanderall , il avais l'aire aussi surpris de la décision du roi , que touts les autres villageois.
En me retourna vers ma droite , je croisa le regard de mon frère , il avais l'Aire très contrarier. je m'approcha de lui.
Il me semblais un peu lunatique. Je le connais par coeur, comme si je lavais tricoté. Il à regard vide, comme quand il est en peine d'amour. Pour temps , il ma parlé de rien.
de toute façon , j'ai pas de temps à perdre avec ça. Il a quand même des chose plus urgente.


- Enfin Jacke , je te cherchais partout! je viens juste d'apprendre ce qui ce passe.
J'ais parler avec la femme de John et elle ma tout raconté.
Je croit s'avoir comment le sauver, mais, pour ça il me faut ton aide !
Il faudrait que tu signe le papier de la banque , pour que je puisse prendre de l'argent dans le conte familiales. Seulement assez, pour payais ses impôt et le cadeaux qu'il dois offrir à nôtre souveraine. Veux-tu ?
J'oubliais, si tu peu aussi m'aider à trouver quelqu'un qui nous aidera a parler avec la princesse qui elle , en parlera à sont père ,qui nous le savons bien, lui dit jamais non.

(Attention Océane : Jonh n’était pas encore pendu. Sinon, tu te débrouilles bien, quand même, pour ton premier forum. Courage, continues ! =D )




Le roi attendit que son peuple réagisse devant son application de la loi. Ce n’était pas de la faute du monarque si le fermier l’avait trahi.

Spoiler:

Ensuite, quelqu’un tenta de monter sur la plateforme pour, de toute évidence, secourir le pauvre prisonnier. Ce que cette personne ne savait pas, c’est que Lizzie avait déjà fait son œuvre. Elle avait déjà implanté l’idée que c’était de sa faute au fermier. Ce pouvoir… était dévastateur. Plus rien ne pouvait sauver le fermier maintenant. Alors que le roi voulu donner le signal à son bourreau, un homme lui fut emmené par Oliver.

Le souverain dévisagea le prêtre de la mort alors que ce dernier débitait sa tirade argumentative interminable, puis lorsque l'elfe-asmir eut terminé, le monarque lui fit un sourire dément en lui soufflant moqueusement:

« Il est trop tard. »

Quoique le raisonnement d’Osfrey semblait satisfaisant, il était un prêtre. Seivin détestait les prêtres. D’ailleurs, le roi avait son propre raisonnement qu’il considérait franchement plus logique : Il avait dit une parole… Et rien ni personne n’allait la contredire. JAMAIS. On ne fait pas changer sa majesté d’avis. Sa parole est d’or. Et sa volonté est fatalement irréversible.

Une fois de plus, le souverain se préparait à donner le signal au bourreau, malgré le fait que devant cinquante gardes, la personne qui avait tenté de sauver le fermier s’était volatilisée par magie.

Mais le Lizzie avait fait du trop bon travail…




John Wheaton tenta vainement de se débattre, au début. Il redoubla d'effort quand il vit que l’on essayait de le sauver. Lorsqu’il remarqua que la tentative défectueuse de son équipe de rescousse constituée d’une seule pauvre personne étaient vaine, il protesta de manière encore plus virulente. (Il tripla d'effort!) Ses mains étaient attachées dans son dos et il tenta de les défaire… Sans grande réussite, car le bourreau s’empara de sa joue et lui murmura que c’était de sa faute… de sa faute à lui. C’était comme un virus qui mordait à pleines dents dans sa matière grise pour la recracher toute déformée. Un virus qui modifiait sa réalité, qui transforma l’injustice en culpabilité. Oui. Jonh le savait, maintenant. C’était de sa faute. Au lieu de nourrir son enfant deux fois par jour, il aurait dû réduire la portion en une fois par jour, pour garder un peu d’argent de côté. Sa femme aussi, il aurait dû lui demander de manger un peu moins, et de travailler un peu plus. Pour sa part, il n’aurait jamais dû manger du tout ni dormir. Il aurait dû travailler jour et nuit pour récolter les biens nécessaires pour gratifier sa princesse et payer ses taxes. Même si toute la famille avait eu faim, ça n’aurait pas terminé ainsi. Jonh n’allait pas mourir et sa famille n’allait pas terminer par se détruire elle aussi… Car, comment allait maintenant survivre sa femme et son enfant sans lui pour les nourrir ? Sa femme allait peut-être devoir vendre l’enfant… puis se vendre aussi. Ils allaient mener une terrible vie d’esclavage… Ils allaient être battus, insultés, rabaissés pour le reste de leur existence. C’était de sa faute. Si seulement il avait payé ses taxes… si seulement il avait offert un cadeau à la princesse… si seulement… !

Jonh comprenait, maintenant. Il acquiesça d’un signe de tête. Il acceptait sa mort car il méritait ce châtiment. Tout son corps se crispa de colère envers lui-même. Un sac de jute cachait maintenant sa tête. Il était maintenant debout sur un plateau peu solide. Peu solide comme sa vie était fragile. Une corde se noua sous son cou.

C’était le moment ou jamais. Il devait reconnaître ses erreurs avant sa mort. Il devait prier les dieux et demander le pardon du souverain.

« C’EST DE MA FAUTE ! » Hurla-t-il alors. « Je n’ai pas respecté la loi. J’ai été ingrat envers mon souverain et sa princesse, je n’ai pas payé mes taxes. » Des sanglots se mêlèrent à son discours. « Je mérite la mort. Que sa majesté me pardonne! Miristan, merci de m’avoir laissé vivre jusqu’à aujourd’hui. Pitié, bénissez ma femme et mon enfant lorsque je serai parti ! Valia, merci d’avoir béni mes terres durant toutes ces années. Elles n’étaient pas très prospères, mais sans vous, elles auraient été stériles ! Et Theliann… Je vous remercie de m’accueillir à vos côtés… Car… je viens vers vous…»

Son visage caché par le sac, personne ne put voir ses chaudes larmes couler sur son visage. C’est alors que l’homme se mit à se débattre, et fit tomber lui-même le plateau surélevé. La foule put voir son corps se démener violemment, alors que la vie quitta celui-ci, puis retomber inerte, lorsque son âme l’ait fui pour de bon.




Seivin observa la foule, satisfait de leur air outré. Il était joyeux de les voir reconnaître leur faiblesse. Heureux de voir que, encore une fois, c’était lui, le roi. Il décidait de tout, même de la vie de chacun d’entre eux.

« Mes chers sujets… Cet homme a eu ce qu’il méritait ! Maintenant, préparez-vous à la suite du bal! Montrez votre allégresse pour les vingt ans de ma fille ! » ordonna le monarque à la foule encore horrifiée par le spectacle de la mort du fermier à la tronche sympathique.

Sur ce, le roi quitta les lieux, accompagné d’une trentaine de gardes. Quelques autres restèrent sur place pour démonter la plateforme provisoire et le reste retournèrent à leur à leur poste. Deux ou trois gardes demandèrent non poliment à la foule de se disperser.

(Oh mon Dieu! Maitre du jeu! Tu t'es vendu là! Je croyais que c'était marie qui faisait ce perso! Mais j'ai bien vu que c'est la même personne qui fait Osfrey! Qu'est-ce qui t'a trahi tu pense? Hé oui la tronche sympathique du fermier mouhahahaha)

Aux mots du fermier, Jake fut abasourdit! C'était insensé d'avouer ce genre de faute! Ridicule même! Jamais il aurait pu sauver John à cause de tous ses soldats qui auraient tôt fait de faire échouer sa mission. Il était fort, certes, mais pas invincible tout de même et il savait se servir de sa tête tout de même! S'il n'aurait pas sauvé Eyrie, elle serait surement là à côté de John! Sa soeur Océane avait connu cet étrange fermier quand elle était jeune. John avait toujours été un homme travaillant, mais pauvre alors sa petite soeur avait toujours essayé de l'aider, d'où venait leur amitié!

Jake n'était pas réellement partit en fait! Il se devait de voir ce qui se passerait avec ce pauvre John, il avait espéré voir quelqu'un autre que Eyrie essayer de lui sauver la mise. Malheureusement, personne avait osé faire ce dont Jake était incapable d'accomplir. Il se sentait mal dans sa peau d'être aussi effrayé par de simples statistiques stupides. Il partit donc en route vers chez lui, non sans regarder le Roi entourer de gardes qu'il aurait aimé frapper à mort à ce moment-là et entreprit d'aller se changer ENFIN pour le bal.

*Je n'arrive pas à croire que mes parents sont assez stupides pour vouloir me présenter à ce Roi sans coeur! Tant qu'à y être il va choisir une femme au bal et l'obliger à l'aimer sans lui donner son opinon! pfff*

(hummmm, c'est une idée )

Osfrey resta bouche bée. Trop tard?! WTF? Et il n'acceptait même pas le deal de la mort de super rabais pour les cercueils. Ha... Osfrey comprenait. Ça ne revenait pas directement au roi si Osfrey faisait un rabais de 40%. C'était la milice qui devait s'en occuper et celle-ci devait avoir son budget personnel. La prochaine fois, Osfrey offrira 40% de commission au roi, ce qui reviendra immédiatement dans ses poches. Il ne pourra probablement pas refuser cette offre alléchante!

Osfrey récupéra son peigne et sa bourse que le roi n'avait pas pris et scruta la foule. Il fit un autre tour et vit qu'Oliver n'était toujours pas parti.

"Dîtes, vous, vous avez la bonté d'offrir un cercueil au défunt?"

Il fit un sourire de vendeur professionnel en laissant bien shinner ses dents impeccables.

"Je peux même vous faire un rabais de 10%! Pensez-y, ça vaut la peine et ce sera votre manière de vous racheter, puisque vous ne sembliez pas tout à fait joyeux de livrer ce fermier au roi."

Osfrey pensa que Oliver n'avait pas l'air malheureux non plus... Mais on s'en balance, des détails. Le principal, c'est de vendre des cercueils!

Jour de fête égale jour de trépas. Voilà comment Faë, assise sur le toit d’une maison, voyait cette journée : l’anniversaire de la princesse n’annonçait rien de bon, que du désarroi aux nombreux citoyens de Zéphyr. Certes, l’Elfe n’aimait pas la cité, mais elle ne désirait pas leur malheur non plus.

- Les temps ont changé… murmura-t-elle. Elle soupira longuement. Si seulement Anne était toujours en vie… continua-t-elle.

En effet, depuis le malheureux décès de la reine Anne, la forteresse de Zéphyr avait changé drastiquement. Malheureusement, peu de gens se rappelaient du « vieux temps », mais elle si. Et le futur s’annonçait sombre avec le roi tyrannique au pouvoir.

- Ça ne vaut pas la peine de rester. Dit-elle au corbeau posé sur son épaule. Viens-tu avec moi? Lui demanda-t-elle.

Tout juste après l’exécution, Faë prit la forme du corbeau et partit.

Oliver soupira face à l'incessant vendeur de cercueil voulant lui écraser encore plus les boules. Il écouta ces supposer regrets et regarda derrière lui, le Roi était bel et bien parti avec l'escorte de soldats, mais cela ne l'importait peu! Les murs avaient des oreilles et jamais il ne parlerait ouvertement à quiconque et encore moins ce prêtre ridicule. De plus, il ne dépensait jamais pour les autres! Ce sont CES sous!

"Moi? Éprouver de la compassion envers ce tricheur et ce menteur!? Vous avez bien entendu!? Il est bien où il est et je n'ai aucun remords! Il l'a mérité! De plus, les victimes du Roi n'ont pas le droit au luxe de posséder un cercueil! Ils se font dévorer par le bourreau en personne!"

Il vit la journaliste de Zéphyr se diriger sur Jake, toujours à vouloir connaitre le qui du pourquoi! Elle est trop curieuse cette Océane! Il n'avait pas envie de la croiser! Il devait de toute façon préparer son corps parfait et ses cheveux pour la suite du bal. Oliver était très capricieux pour ce qui était de son corps et de ses tenues alors ce serait très long!

"Je n'ai pas le temps pour vos balivernes de rabais! Sur ce, veuillez vous pousser de mon chemin!"

Il lui mit la main dans le visage en cachant une partie puisque qu'il avait des muscles jusque dans les doigts. (Je suis crampé je ne me peux plus!) Il l'écarta avec sa main, très insulté d'avoir été arrêté par cet homme pendant l'arrestation de cet intrus qui semblait être une femme. Il parti là-dessus et prit bien soin d'éviter la journaliste du Zéphyr express! Ilest parti ce préparé en vitesse, car il devait travailler quand même un peu pendant le bal et Èva aussi! Le crime ne dors jamais!

Avant même que jacke n'est pue me répondre , le cris de la trompette surgi Ce qui annonça la mort de mon chère ami.
tout ce déroula très vite dans ma tête.Je ne pue regarder la scène. Je n'avais qu'une pensé qui me revenais toujours. Comment allais vivre cet pauvre femme. Que je venais de laisser dans une peine immense. Seul avec un bébé. Je me devais de les aidés. Non je lui devais , faute de ne pas avoir pue le sauver.
je me décida donc de prendre de l'argent, dans mes économie. j'avais toutes mie ses sous de côté, pour aider la construction d'une nouvelle orphelinat.
De toute façon , javais suffisamment pour faire les deux.
Je me mis en route ver la maison de Amélya .'' La femme du fermier'' , Je n'arrêtais pas de me demander, comment un roi qui étais supposé être juste et bon avec ses loyaux sujets, avais pue tuer quelqu'un, que pour une question d'argent et de cadeaux stupides. Moi à partir d'aujourd'hui, je ne lui accorderez plus ma confiance. C' est définitif!

En arrivant chez la jeune veuve, je m'aperçu que ça maison, venais de passer aux feux. mais qui donc à pue faire ça ?
je me rua vers les débris, en regardant bien s'il n'y avait pas de corps.
Heureusement , il en n'avait pas. Mais, ou sont-ils passé ?
Je vue une roche mauve et verte a côté d'un arbre ''sol pleureur'' , la roche que moi et John avions peinte ensemble étant jeune , ont s'avais dit que se serait la roche des secrets . Quand ont avais besoin de ce confier, de gros problème, nous nous écrivions des lettres, que nous m'étions en dessous de celle-si. Ce qui étais beaucoup plus facile pour nous, Car ma famille n'aimais pas la sienne alors, ont devais ce voir en cachette.
Cette roche, fus d'une aide précieuse pendants des années. En la prenant dans mais mains , Je vue coller en dessous une lettre, qui m'étais adressé. Je la lue sans hésiter.

- Chère Océane , John m'avais parlé de l'histoire de cette roche. Ses pour ça , que je savais que en la voyant , vous la prendriez toute suite et que vous verriez cette lettre.
J'ais de gros problème je vois aux loin 3 hommes armées qui vient vers ma maison. J'ai très peur. Jais cacher ma fille dans un trous d'arbre gigantesque, S.V.P aider moi. Allé chercher ma fille et prenez en soin.
Elle s'appelle Anna , elle a 5 mois , elle aime que l'ont lui chante,de belle chanson.
Merci , je vous fais confiance autant que John, le faisait.
Je pris la lettre et la serras dans ma poche.
Mais pourquoi le sors s'abattait sur cette famille? pensai-je.
Ou étais Amélya ? et pour quoi quelqu'un lavait enlever ?
Je devais aller sans plus tarder à la recherche de cette petite.
Enfin, à l'aide des plans sur la lettre, qu'elle avait dessiné.Je trouva la petite Anna.
Elle étais envelopper dans un foulard rouge de coton , et elle dormais paisiblement.
Il faut que je retrouve sa mère, Mais, alors qui gardera cette petite puce.
Éva ou Eyrie bien sure.
Éva , je la connaissais, elle adorais les enfants et Eyrie mon frère en parlais souvent et elle aime aider les justes causes, alors elle voudra surment m'aider.
arriver à la salle de trône avec le bébé dans les bras. Je vue Éva et je m'approcha d'elle, pour lui parler.
-Salut Éva , je ses que l'ont se connait pas beaucoup mais, peu tu m'aider et garder ce bébé ? Sa mère qui est la femme du défunt fermier,c'est faite enlever. Je dois la retrouver. Ce n'est pas des petits bandits car, ils ont même brûler sa maison pour faire croire, qu'elle est morte dans ce feu.

Qui sont ses ravisseur? et si ils étaient plus que trois ? Ils faut que je rassemble des gents fiables, qui m'aiderons à ma quette.

Je vais commencer par mon frère, Je suis sure qu'il voudra et il sera qui ils nous faut.

- Jacke , j'ai besoin de toi pour m'aider a trouver Amélya , elle ses faite enlever par des ravisseurs . Elle ma laisser la garde de sa fille. peu-tu venir avec moi à ça recherche et trouver des gents de confiance qui nous aiderons dans ce périple ?

(Je ne vais ne pas considérer le message d'Océane puisqu'il n'est pas réglementaire Océane je ne pourrai jamais m'occuper d'un bébé, car je suis la sous-chef des armées et je suis bien occupée! Eyrie n'est pas une défentricedes droits et liberté! Tu ne peux pas commencer ce genre de périple ici, c'est uniquement réservé au bal. Bien, pendaison du bal. Lol)

Èva eu le coeur serré quand l'homme se fit pendre, car elle savait que Lizzie, le bourreau, l'avait manipuler afin qu'il se croie réellement coupable. Cependant, elle ne le démontra pas afin de faire bonne figure. Elle avait elle-même tuer beaucoup d'hommes et avait apprise à ne pas se soucier de la mort des autres. Malheureusement, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser que cet homme ne méritait pas son sort.

Le bal commençerait bientôt et elle avait laissé sa cousine Ashley à la maison pour terminer sa propre robe. Elle était si talentueuse cette cousine! Elle avait terminé sa robe en premier bien évidemment et venait de terminer son masque qu'elle avait hâte d'aller essayer. Elle pensait être excitée par son premier bal, mais cette mort n'était pas le genre de surprises qu'elle aurait voulu voir avant les festivités. Elle parti donc vers son cheval noir, pour se rendre à son manoir pour se préparer. Elle avait acheté un cheval pour sa cousine aussi et espérait que celui-ci lui plairait!

*Comment allons-nous appeler celui-là? Pourquoi pas Mystic? C'est très joli pour une femelle!*

Se dit-elle satisfaite de ce cheval aux belles couleurs, elle pourrait bien commencer la reproduction puisque son cheval était un mâle! Un autre moyen de se faire un peu d'argent! De plus, son cheval devenait vieux, il lui faudrait un poulain plus jeune à entrainer. Elle parti donc avec son fidèle cheval Tonerre vers chez elle, les idées changées, afin de se préparer.

[ Non mais, sauté aux conclusions aussi vite Jake? Mes chères admins ont la permission de poster des messages avec mon compte car je n'ai pas tout le temps que je veux.

Mais bon, de retour à nos moutons, ce topic est officiellement terminé. Il ne sera vérouillé afin de vous permettre de quiter le topic ou terminer vos interractions. ]

* QUOI?! *

Jayden ne put observer la scène et dût détourner la tête. Ses pensées se chamboulèrent ensuite rapidement dans sa tête et ses émotions toutes autant en son coeur. Il était triste pour ce pauvre fermier qui n’avait pas mérité une mort si jeune, contrarié de ses dernières paroles, fâché contre son roi qui avait manigancé le tout.

"Que Miristan te pardonne. " murmura-t-il.

Lentement, il s'éloigna et partit.